Coronavirus et PVT : témoignages de voyageurs confinés

Julie

Vous n’aviez pas prévu la pandémie de Covid-19 pendant votre PVT ? On vous rassure, les autres voyageurs non plus. Alors voici des conseils et témoignages pour prendre les bonnes décisions et vous préparer au mieux à un confinement en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada ou ailleurs en PVT.

Covid-19 ou pas, la vie continue, et nos voyageurs voyagent (parfois dans leur chambre ou pour un aller simple en France, mais voyagent quand même). Leah, Théa, Clément, Florence, Justine sont rentrés en catastrophe ou se préparent à se confiner à l’autre bout du monde, et ils nous donnent leurs conseils pour faire face à une aventure dont ils se seraient bien passé… Mais qu’ils essayent de vivre avec philosophie !

Rentrer ou se confiner à l’étranger ?

Face à l’épidémie de coronavirus, chacune de vos situations sont différentes et respectables. Selon le pays dans lequel vous êtes, si vous êtes loin ou pas d’un aéroport, déjà en confinement ou pas… La question de partir ou de rester ne se pose pas de la même manière. Plusieurs ressources peuvent vous aider à décider :

  • Voir ce que dit l’ambassade de France. Chaque Ambassade de France dans le monde publie régulièrement des infos pour les Français à l’étranger. Ainsi, suivez non seulement les sites internet des ambassades, mais aussi leurs comptes sur les réseaux sociaux : (Facebook, Twitter).
  • Si vous souhaitez rester, anticipez plusieurs aspects matériels : demandez vous si vous disposez d’un éventuel lieu de confinement, de ressources financières suffisantes, d’une assurance santé, d’un visa toujours valide… On vous détaille tout ça plus bas.
  • Et surtout, n’oubliez pas de penser au moral. Vivre une pandémie n’est pas anodin dans une vie, il est normal d’être angoissé ! Alors assurez-vous que vous êtes bien entourés pour bien vivre un éventuel confinement.

Témoignages de voyageurs : rester ou rentrer ?

Florence (voyageuse en Argentine), Clément (PVT Australie), Théa (PVT Australie) et Leah (PVT Nouvelle-Zélande) ont tous décidé, pour le moment, de rester. Pour différentes raisons :

  • Florence était en auberge de jeunesse à Córdoba quand les premières mesures de fermeture des villes et de limitation des transports inter-urbains ont été prises. Ainsi, rester s’est plus ou moins imposé : pour elle, il était logique de suivre les consignes du gouvernement en limitant ses déplacements. Le fait qu’elle ait trouvé un logement pas cher et qu’elle ait un visa valable encore plusieurs mois a évidemment joué dans son choix.
  • Clément était arrivé depuis trois semaines en Australie quand les écoles ont fermé. Ayant des économies pour tenir plusieurs mois et un visa PVT d’un an tout juste tamponné, il ne souhaitait pas rentrer tout de suite… Il s’est donc mis en quête d’un logement pour un éventuel confinement.
  • Théa, en PVT Australie, avait travaillé plusieurs mois et était logée chez des amis à Sydney quand les premières mesures de confinement ont été annoncées. Ayant de l’argent et un logement, elle a décidé de rester pour continuer son voyage une fois ces événements passés. Bien qu’elle m’avoue ne pas être tous les jours sûre de sa décision…
  • Leah a décidé de rester pour une raison simple : elle s’est tout suite sentie mieux à l’idée de vivre cette pandémie en Nouvelle-Zélande plutôt qu’en France. Comme elle avait de l’argent, elle a trouvé une chambre chez un particulier avec une amie, et a vite été prête à se confiner.

Justine, en revanche, a été coincée à Bali alors qu’elle vagabondait après un an de PVT Australie. Elle a tout de suite décidé de rentrer : tout simplement car elle n’avait qu’un visa touriste à Bali, et plus d’argent.

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Comment rentrer en France ?

Face à l’épidémie qui progresse, certains voyageurs ont décidé de rentrer en France. Le problème : entre l’annulation des avions, les billets hors de prix et les fermetures de frontières, le retour est parfois le parcours du combattant…

Ainsi, pour ceux qui veulent rentrer, deux interlocuteurs essentiels :

  • votre compagnie aérienne pour voir les avions qui décolent,
  • les services du consulat ou de l’ambassade de France dans votre pays. Car si des vols de « rapatriement » ne sont pas organisés par la France à ce jour, les autorités françaises ont bien pris en compte la situation difficile des Français à l’étranger et travaillent quotidiennement à organiser leur retour, comme l’explique cet article.
  • Pensez à vous enregistrer sur le site Ariane, pour être tenu au courant des changements sur votre situation.

PVT et coronavirus : tout savoir sur la situation pour les pvtistes

Comment Justine, en PVT Australie, a réussi à rentrer en France

Justine, en PVT Australie, a voulu terminer son PVT sur un voyage en Indonésie. Mauvais timing : suite à la fermeture des frontières australiennes, elle n’a pas pu rentrer dans le pays où elle avait toutes ses affaires et un véhicule… Tout en ayant un compte en banque quasi vide.

Elle a donc tout de suite réservé un vol en direction de la France… Qui a été annulé quelques jours plus tard. Au final, elle a mis plus d’une semaine, mais elle a réussi à rentrer en France à force d’obstination et de patience : après avoir harcelé l’ambassade, elle a carrément squatté l’aéroport de Bali, jusqu’à pouvoir monter dans un avion.

Pour elle, le voyage a été long, avec beaucoup d’attente aux douanes, mais sans encombres : pas de contrôles particuliers, pas de prise de température. A son arrivée en France, elle a pris un Uber pour rentrer chez elle, à une heure de l’aéroport, et n’a pas eu de problème.

Comment se confiner en PVT ?

Le sac à dos de Leah, en PVT Nouvelle-Zélande, s’est immobilisé pour quelques semaines… © Leah

Vous êtes dans le pays de votre PVT et prévoyez d’y rester ? C’est une bonne solution à condition d’anticiper plusieurs aspects :

  • un possible lieu de confinement s’il s’impose,
  • des ressources financières suffisantes,
  • une assurance santé valide et prenant en charge d’éventuels soins liés au covid-19,
  • un visa toujours valide ou une demande de renouvellement en cours,
  • des copains pour vous entourer : le moral est important dans ce genre de moments.

Logement de confinement

Clément, en PVT Australie, a quitté son auberge de jeunesse pour une sharehouse en prévision d’un éventuel confinement. © Clément

Si tous les pays ne sont pas en confinement, c’est quelque chose qui peut arriver n’importe où : il est donc important de l’anticiper, et de vous trouver un logement dans lequel vous pourrez rester enfermé quelques semaines – voire quelques mois.

Selon les pays du PVT, les obligations en terme de logement de confinement ne sont pas les mêmes : vous devez donc vous renseigner sur ce que conseillent, voire imposent, les règles locales. Plusieurs solutions sont à considérer :

  • Airbnb. C’est évidemment la solution la plus adaptée, puisqu’elle vous permet de vous isoler – seul, en couple ou entre amis – dans un espace à vous.
    • Le problème : les voyageurs se heurtent à des refus de propriétaires qui ont peur de louer à de potentiels porteurs de coronavirus… La solution : préciser que vous ne revenez pas de France, et, surtout, s’acharner.
    • Le conseils : n’hésitez pas à négocier le tarif, ça se fait très souvent en restant sur une longue durée.

La bonne idée : se réunir dans un Airbnb

Certains voyageurs décident de se réunir pour louer ensemble un appartement pour se confiner. C’est plutôt une bonne idée, tant en terme de budget que de moral… A condition, évidemment, de ne pas vous confiner à 12 personnes (on perd alors l’intérêt du confinement !)

  • Logement chez l’habitant. Certains habitants qui ont une pièce en plus profitent de l’occasion du coronavirus pour se faire un peu d’argent, tout en montrant de la solidarité envers ces voyageurs sans domicile individuel. C’est par ses réseaux que Leah, en PVT Nouvelle-Zélande, a trouvé : « J’ai trouvé chez un couple local, ils ont deux chambres qu’ils n’utilisent pas et en voyant la galère des voyageurs, ils ont décidé de les louer. Du coup je suis dans une chambre, et j’ai proposé la deuxième à une autre Française ! »
  • Logement chez des amis. Si vous avez l’occasion d’être hébergé, même pour une somme modique, c’est l’idéal : non seulement vous n’êtes pas tout seul, mais vous limitez aussi vos dépenses de logement. C’est le cas de Théa, en PVT Australie : « Je ne vis pas dans un hostel ou dans un van, je vis à Sydney avec des amis de famille, donc je sais que si on arrive à un confinement, je n’aurai pas de problème financier pour me loger ».
  • Logement en sharehouse. Evidemment, ce n’est pas l’idéal si vous souhaitez limiter les risques de contagion, mais c’est parfois le seule type de logement accessible : pour les finances, mais aussi quand les propriétaire refusent de louer à des Français. C’est le cas de Clément, en PVT Australie, qui a trouvé une sharehouse à Perth, via Marketplace sur Facebook, et Flatmates.
  • Auberge de jeunesse. Là encore, on est loin du logement individuel, mais c’est parfois la seule option possible. C’est le cas pour Florence, voyageuse, qui, suite à la fermeture des villes et l’arrêt des transports, se retrouve bloquée dans une auberge de jeunesse à Córdoba en Argentine. Le pays étant désormais en quarantaine, plus personne ne rentre ou ne sort de l’auberge… C’est donc devenu une grosse colocation !
  • HelpX, Wwoofing. Ça peut être une bonne solution, le helpX ou Wwoofing résolvant deux problèmes : celui du logement, et celui de l’argent. Le problème : le trouver ! Car sur les annonces de HelpX, vous trouverez régulièrement ce message : « Due to the Corona Virus, we are no longer taking helpers. Thank you for your understanding ». Comme pour le Airbnb, on vous conseille donc de tenter, encore et encore, jusqu’à trouver !
  • Van, tente ? Si vous souhaitez passer votre éventuel confinement en van ou en tente, renseignez-vous sur les règles de confinement ou de distanciation sociale adoptées dans le pays : par exemple, c’est possible de s’isoler dans un van self-contained en Nouvelle-Zélande, si il reste stationné au même endroit pendant tout le temps du confinement. Cela dit, je vous dirais de bien réfléchir avant de prendre ce genre de décision… Car passer plusieurs semaine seul dans quelques mètres carrés au milieu de nulle part sans pouvoir bouger me parait dangereux pour le moral !

Appliquez les gestes barrière !

Quel que soit votre logement, respectez les gestes barrières : se laver les mains, se tenir à au moins un mètre des gens que l’on croise, tousser dans son coude, ne pas faire la bise, etc.

Dans des logements collectifs, comme les auberges de jeunesse ou les sharehouse, il y a bien sûr plus de chances d’être contaminé ou de contaminer les autres. Ainsi, adaptez vos habitudes et votre hygiène à l’endroit dans lequel vous êtes. Par exemple, Florence qui est en auberge de jeunesse en Argentine, m’explique qu’elle lave soigneusement tout ce qu’elle touche dans les parties communes : surfaces, ustensiles de cuisine… Le risque zéro n’existe pas, mais vous pouvez le réduire par vos petits gestes du quotidien !

Annuaires et sites pour se loger pendant le coronavirus

Les sites traditionnels peuvent être utilisés : Marketplace, Flatemates, Hostelworld, Airbnb… Mais si vous avez des difficultés à trouver un logement, certaines ambassades de France mettent à disposition des annuaires de logement acceptant les Français, par exemple :

  • Argentine : liste de logements (Airbnb, agence immobilière, et auberges de jeunesse) acceptant les Français
  • Colombie : liste de quelques auberges qui proposent des prix sur le long terme
  • Brésil : partenariat avec le groupe hôtelier ACCOR pour des prix sur le long terme
  • Nouvelle-Zélande : service gouvernemental d’aide pour trouver un logement. Si vous l’avez testé, racontez-nous en commentaire !

Sosuntoit. fr : réseau solidaire international

Un réseau d’entraide international a également été mis en place : http://sosuntoit.fr. Il s’agit bien sûr d’un dernier recours à utiliser en attente d’un vol, et les places ne sont pas garanties.

Travail et argent pendant l’épidémie

Comme en France, les emplois vont se faire plus rares dans les pays du PVT. Les backpackers seront certainement touchés. Nos voyageurs en ont fait les frais : Leah (PVT Nouvelle-Zélande) ou Clément (PVT Australie), par exemple, ont temporairement abandonné l’idée de travaillé et ont trouvé un logement pour pouvoir se confiner dans de bonnes conditions.

Est-il encore possible de trouver un travail en Australie ?

Si le travail en restauration ou en ferme est désormais quasi impossible à trouver (confinement oblige), les secteurs du bâtiment et de la grande distribution continuent à recruter. Cela dit, restons attentifs : ce n’est que le début de cette situation et les choses sont en train de s’organiser…

Le gouvernement a également mis en place le site Jobs Hub pour répertorier les offres d’emplois dans les secteurs en demande pendant cette crise du coronavirus. Pensez à le consulter !

Si l’absence de travail n’est pas forcément dramatique dans des pays à faible niveau de vie comme l’Amérique latine, dans les pays de l’Océanie, ça peut vite devenir problématique. Ainsi, une seule solution : évaluer son budget.

Combien de temps va-t-on être confiné ?

On ne sait pas, personne ne sait. Le mieux est de vous mettre dans des dispositions pour tenir au moins 1 à 2 mois. Mais il est complètement possible que cela dure plus longtemps, impossible de prévoir.

En confinement, on dépense moins

Une bonne nouvelle dans ce monde de brutes : en confinement, fini les budgets transports, sorties, bière en terrasse, bouquins, cadeaux… Réduisez vos projection au logement et la nourriture, ça suffira.

Combien d’argent faut-il prévoir ?

  • En Nouvelle-Zélande, 600 € par mois selon Leah. Elle estime qu’elle peut trouver des auberges à 25$ la nuit (175$ par semaine, soit 95€), ou des colocs de 120 à 250$ la semaine, selon les villes (soit de 65€ à 136€ la semaine). Pour la nourriture, elle prévoit 100$ par semaine (54 €).
  • En Australie, 600 € par mois. Clément a trouvé une sharehouse à 100 $ (55 €) par semaine. Côté nourriture, nous estimons qu’il faut prévoir 150 $ (83 €) de nourriture par semaine. Soit 250 $ (138 €) par semaine, ou 1000 $ (557 €) par mois.
  • En Argentine, à Córdoba, 300 € par mois. C’est ce que dépense Florence : 5 € par jour de logement en auberge de jeunesse, et 5 € par jour de nourriture.

Astuce : transférez des fonds vers votre compte à l’étranger !

Si vous avez une épargne en France (ou des proches qui peuvent vous prêter de l’argent), c’est le moment de faire un transfert sur votre compte à l’étrange : les taux sont extrêmement avantageux en ce moment.

taux transfert EURO AUD PVT Australie

Assurance santé et coronavirus

Plus que jamais, il est essentiel de posséder une assurance qui vous couvrira en cas de pépin de santé en PVT. Deux vérifications s’imposent :

  • la prise en charge si vous attrapez le Covid 19. On peut vous certifier que c’est le cas pour GobyAva et Chapka (contrats souscrits avant le 11 mars 2020). Pour les autres assurances, vérifier votre contrat et leur site internet, ou contactez-les !
  • la fin de validité de votre contrat assurance. S’il se termine dans les prochaines semaines, voyez pour un renouvellement immédiatement !

Comparatif et souscription aux assurances santé en PVT

Renouvellement du PVT pendant l’épidémie de coronavirus

Si votre PVT arrive à échéance dans les 3 mois, regardez immédiatement les options de renouvellement de celui-ci, ou les options pour conserver un statut légal à l’étranger.

En Australie :

  • Si vous êtes admissible au renouvellement de WHV (jours de ferme effectués), anticipez cette demande,
  • Si vous n’êtes pas admissible au renouvellement de WHV, il faut demander un No Futher Stay Waiver (formulaire 1447). Indiquez le coronavirus et l’absence de vol retour à la rubrique 15.
  • Si votre PVT a expiré, il faut demander un Bridging Visa dès maintenant.

En Nouvelle-Zélande :

L’immigration a annoncé que dans le contexte de l’épidémie de coronavirus, toutes les personnes en possession d’un visa étudiant, visiteur, de travail (dont PVT), limité ou intérim qui expire entre le 2 avril et le 9 juillet 2020 verront leur visa automatiquement étendu au 25 septembre 2020.

Une confirmation d’extension doit vous être transmise par mail.

Si votre visa expire avant le 1 er avril 2020, vous devez demander un visa interim ou sortir du territoire avant expiration de votre visa.

S’occuper et se soigner pendant le confinement

Soigner son moral

Quand on est confiné – ou presque – à l’autre bout du monde, le moral n’est pas une question accessoire ! Une pandémie, c’est peut-être pas l’aventure que vous attendiez, mais maintenant que vous êtes là, autant tout faire pour que ça se passe bien… Les voyageurs que nous suivons sont plutôt philosophes, et voient le positif grâce plusieurs choses :

S’entourer

C’est la règle numéro 1. Clément en Leah ont tous les deux choisi un logement avec des amis. C’est important d’être entouré ! Florence, elle, multiplie les discussions Skype avec la famille et les amis depuis son auberge à Córdoba…

Se dire que c’est pas mieux ailleurs

Oui, c’est une manière de relativiser : se dire que partout dans le monde, le coronavirus sévit, et que vous ne pouvez pas y échapper. Tout ce que vous pouvez faire, c’est de bien choisir où et comment vous voulez vivre cette expérience. C’est ce qu’à fait Leah, en décidant dès le début qu’elle préférait être en Nouvelle-Zélande qu’en France.

Faire ce qu’on n’a pas le temps de faire d’habitude

Florence est avec son copain, en auberge de jeunesse. Elle profite de ce moment : « On essaye de faire ce qu’on n’avait pas le temps de faire sur les routes : mon copain a codé une nouvelle version de notre blog et moi j’écris des articles. Sinon, pas mal de sportifs proposent des programmes gratuits pour se bouger ou se détendre mais je ne me vois pas faire ça dans la cuisine de 4 mètres carrés ou entre 8 lits … Du coup, moi qui suis tout le temps debout, souvent dehors, qui fais du sport, je tourne pas mal en rond ! ».

Ça peut être écrire un blog, faire des dessins, trier ses photos de voyage, apprendre à jouer d’un instrument…

Florence, bloquée à Córdoba, en profite pour observer la ville en confinement : ici, la queue (espacée) pour le supermarché. © Florence

Jouer à des jeux

Florence, enfermée dans son auberge de jeunesse avec 14 collègues, multiplie les jeux : échecs, rami… Lisez notre article pour trouver des idées !

Le top des jeux en voyage

Autres idées improbables

L’être humain ne manque pas d’idées pour occuper un temps un peu suspendu. Florence s’est finalement mise au sport en ligne avec Tiboinshape, tandis qu’elle me raconte que les gens de l’immeuble d’en face font des footings sur le toit… Racontez-nous vos occupations de confinement en voyage en commentaires !

Bonus : conseil de lecture

Toutes ces histoires de pandémie m’ont fait penser au bouquin Scénario catastrophe ! Manuel de survie : En voyage de Joshua Piven et David Borgenicht, qui propose un mode d’emploi pour « traverser une rivière infestée de piranhas », « s’échapper du coffre d’une voiture », « survivre à une éruption volcanique »… Ça peut vous aider à relativiser, et ça vous donne de la matière pour leur proposer le chapitre « Comment survivre à une pandémie en voyage » !

Julie

En m'approchant (dangereusement) de la trentaine, j'ai eu envie de prendre un peu d’air frais pour cette décennie qui commence. Après un premier bain de pieds en Turquie en 2015, c'est le grand plongeon début janvier 2017, avec un PVT Argentine, cette fois en compagnie de mon amoureux de presque toujours, Romain. Notre devise de voyage : curiosité, improvisation et contemplation !

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